Si j’avais un franc

SAIFI Abdelkrim

En 1948, Korichi, vingt-six ans, a quitté son Algérie natale, sa belle oasis de Biskra, pour chercher du travail dans le Nord de la France. Il est embaucher à Haumont dans une aciérie. La guerre vient de s’achever, il faut reconstruire le pays. Ils sont nombreux ceux qui, comme lui, triment de l’aube jusqu’au soir pour un salaire de misère.…

Ce contenu est réservé aux abonnés

Je me connecte

S'inscrire | Mot de passe perdu ?

Pas encore de compte ?

Je m'abonne