La vie est faite de rires et de larmes, les joies chassent les peines, chanter et danser aussi. À l’invitation de cette première chanson, un défilé d’animaux entraîne chacun à suivre chanteurs et musiciens dans des mélodies dansantes en langue française, créole ou lingala (Congo) ou aux rythmes endiablés des percussions, ponctués d’onomatopées. Des choeurs d’enfants ou de femmes reprennent les refrains avec Gibus.
Pour celui qui écoute, impossible de rester immobile et de ne pas entonner à son tour ces airs faciles à retenir. Les voix, les accompagnements musicaux, tout paraît simple et joyeux, alors que les orchestrations variées témoignent d’une recherche et d’une technique approfondies. Et pour que le plaisir ne s’arrête pas là, les yeux aussi sont sollicités par des illustrations où les enfants côtoient crapaud, autruche, zèbre, éléphant… dans des images aux couleurs vives, au graphisme efficace et séduisant.