Alexandre, lâhomme de sa vie, lâa quittĂ©e, il y a un mois. Elle rumine sa dĂ©convenue, voire son chagrin, devant un troupeau de vaches dans leur prĂ© et, « la solitude aidant, entre dans une sorte de rĂȘverie mĂ©taphysique ». Sâensuit une brutale illumination, rĂ©sumĂ©e ainsi : « Les hommes vivent et paissent comme des bovidĂ©s dâĂ©levage ». La jeune femme va dĂ©sormais soigner sa psychĂ©…
Tant qu’il y aura des vaches
MARTEL Patricia