À peine 150 pages, presque autant de petits textes qui vont d’une ligne à quelques paragraphes : ainsi se présente le dernier recueil d’un des écrivains bulgares contemporains les plus connus. Le titre n’éclaire que lui-même. C’est un ensemble protéiforme et touche-à-tout, du Lapsus aux Zoos, d’un Vieillard à la pomme à Nietzsche bébé, des Industries naturelles ou d’un Coq…
Tous nos corps
GOSPODINOV Guéorgui