Tout pour le mieux

SIGURET Catherine

Marilyn, dépendante de ses névroses, mène une vie monotone et confite dans les habitudes. Elle habite le même immeuble qu’Albert, beau sexagénaire qui traverse l’existence avec entrain et légèreté. Irène, mère abusive et possessive, provoque leur rencontre, persuadée ainsi de conserver l’amour de son fils unique, Marilyn lui semblant insignifiante. Contre toute attente, ils tombent éperdument amoureux et surmontent incompréhension, peur et haine.

 

Catherine Siguret traite à nouveau, avec son style direct et enlevé, un thème qui lui est cher : la quête de l’amour (cf. Je vous aime, NB février 2007). L’analyse psychologique de ses personnages féminins poussée jusqu’à la caricature est à la longue pesante et peu crédible. Toutefois les rebondissements de l’histoire et les deux héros mènent avec entrain le lecteur.