Patrick Rambaud pointe à nouveau sa lorgnette sur la Cour Impériale de notre Gigotant Monarque (NB mars 2009) et se délecte à tourner en ridicule la baronne d’Ati, le comte d’Orsay et autres courtisans. D’une plume cruelle, souvent assassine, il se fait le chantre des hauts-faits de son monarque vénéré et de son microcosme. Mais il ne rechigne pas non plus à colporter bruits de couloir et rumeurs sournoises.
À l’auteur ,
Permettez qu’à notre tour, du langage de cour, nous parodiions l’usage et qu’à votre prose, n‘en prenez point ombrage, nous ne rendions pas hommage !
Égratignez vos semblables, dénoncez leurs faux-semblants, mais, en vains sarcasmes, ne gaspillez pas votre talent !
À trop forcer le trait, vous en gâtez l’attrait.
Pour un autre Empereur, votre plume fut habile, de grâce, à la raillerie, ne la rendez point servile !