En 2015, Françoise Hardy (L’amour fou, NB décembre 2012), atteinte d’un lymphome cancéreux, est considérée comme perdue par le corps médical. Contre toute attente, elle se rétablit. Pourquoi et comment ? À travers une narration assez décousue, elle livre ses réflexions et sa personnalité : sa timidité, son amour pour son fils Thomas, sa souffrance anxieuse, mais aussi l’importance de certains rêves récurrents qu’elle trouve après coup prémonitoires. D’un naturel farouche, elle se réfugie volontiers dans l’introspection. Elle s’intéresse à la physique quantique, à l’astrologie et cherche des explications à ce qu’elle a vécu dans une quête spirituelle. Ainsi, elle inflige au lecteur des développements embrouillés et peu convaincants sur les pratiques théosophiques pour finalement retranscrire une communication de Pastor-Omnia, le Maître par excellence : chacun doit construire sa propre vie et tout effort en ce sens attire la bienveillance de dispensateurs d’énergie qui favorise la créativité et permet d’accueillir les cadeaux du ciel. Pourquoi pas ?
Un cadeau du ciel…
HARDY Françoise