Le titre et son sous-titre laissent perplexe. S’agit-il de lard, de cochon, de métaphysique, de religion, d’ivresse ou d’oenologie ? En tout cas, le paradoxe est omniprésent. Pour les vins, probablement hongrois, le Français moyen est déjà très paumé même si, par moments, il a quelques éclairs de compréhension. Quant aux piétistes, puritains, athées et scientifiques dont semble se gausser l’auteur, que ne se servent-ils de l’adage « in vino veritas » ? Abscons, tout ça ? On s’en tiendra à la phrase de l’auteur, page 124 « Que faire, alors ?… Eh oui, que faire ? Il faut être sobre. Véritablement sobre, c’est-à-dire ivre. Il faut boire du vin.»
Un livre de prières pour les athées : philosophie du vin.
HAMVAS Béla