Vive l’empereur ! (Jour J ; 7)

1925. À la frontière entre l’Empire Français et de la Chine, le capitaine Nerval est pris dans une embuscade malgré ses armes magnétiques inventées par Tesla. Il perd son ami Fermi, puis retrouve à Paris le neveu de celui-ci, Arturo, génie créateur d’une machine infernale à base d’uranium. Mais Arturo est aussi amoureux d’une danseuse, Mata Hari… À l’approche du sacre de Napoléon. Nerval, Fermi et les Mamelouks, agence de renseignement de l’empereur, affrontent dans l’ombre les Chinois et un certain Adolf qui n’ont qu’une idée en tête : tuer Napoléon V !

La série « Jour J » réécrit l’histoire à sa façon, l’imagination est au pouvoir. Dans ce tome règne une atmosphère à la Jules Verne, et les scénaristes prennent un malin plaisir à en rajouter dans les anachronismes, les inventions saugrenues, les sectes, etc. On y croirait presque ! Le dessin est à l’ancienne comme l’histoire, un peu alambiquée.