New York, juillet 2003 : panne d’électricité. Des malfaiteurs cambriolent des sculptures dans une galerie. Lorraine, jeune actrice sexy, rentre d’Angleterre et découvre que son ex a vendu leur loft où elle a caché des lettres compromettantes. Des maçons peu honnêtes ont, comble d’horreur, commencé des travaux pour les nouveaux propriétaires, Regan et Jack Reilly, couple de détective/policier familiers de l’auteure. Il faut aussi retrouver une femme sadique et sa proie qu’elle s’apprête à marquer au fer rouge.
Construit comme un jeu de cache-cache, style scout – portables et bonne volonté souhaités – ce policier s’apparente à une mièvre série policière ! Pris au piège de l’incident qui a plongé la ville dans le noir, quantité de personnages défilent en un « zapping » bondissant de chapitre en chapitre. Carol Higgings Clark utilise toutes les ficelles des situations prévisibles dans la complète obscurité. À l’image de Chute libre et Irish Coffee (NB novembre 2004 et mars 2008), aucun frisson ne passe.