New York sans New York
DELERM PhilippeAbonnĂ©Philippe Delerm (Et vous avez eu beau temps ? Les Notes, fĂ©vrier 2018) adore New York qui est pour luiâŠ
Philippe Delerm (Et vous avez eu beau temps ? Les Notes, fĂ©vrier 2018) adore New York qui est pour luiâŠ
« On peut peut-ĂȘtre se tutoyer », « je reviens vers vous », « En mĂȘme temps je peux comprendreâŠ
Quelquefois la vie « câest trop bien » ! Par exemple attendre la neige et se dire que tout peutâŠ
Avec le Journal d’un homme heureux, Ă©crit entre septembre 1988 et dĂ©cembre 1989, Philippe Delerm (Ăcrire est une Ă©lĂ©gance, NBâŠ
Voici de petits textes dĂ©diĂ©s aux habitants de la terre qui n’auraient jamais imaginĂ© tant de façons de la regarder,âŠ
Adolescent rĂȘveur, StĂ©phane est fascinĂ© par le monde animal. Il vit au sein du MusĂ©um dâhistoire naturelle de Rouen dirigĂ©âŠ
AprĂšs trente annĂ©es de vie commune et de complicitĂ©, Pierre quitte sa compagne. La cinquantaine passĂ©e, Marie, qui sâest retirĂ©eâŠ
Ă soixante ans, lâauteur livre pour la premiĂšre fois un rĂ©cit autobiographique qui mĂȘle son histoire familiale, des souvenirs personnels,âŠ
Philippe Delerm poursuit ses balades physiques ou philosophiques : en Italie, ou Ă travers la France profonde, ou encore surâŠ
Philippe Delerm reprend son « anti-hĂ©ros », Arnold Spitzweg (Il avait plu tout le Dimanche, NB mars 1998). Toujours employĂ© Ă laâŠ
Ces textes de deux Ă trois pages sâadressent surtout aux fidĂšles lecteurs de « LâĂquipe » et aux tĂ©lĂ©spectateurs chevronnĂ©sâŠ
Lâauteur raconte lâhistoire de son adolescence et Ă©voque avec enthousiasme le Tarn-et-Garonne, plus prĂ©cisĂ©ment le village de ses grands-parents, Malause.âŠ
Ă partir dâaspects variĂ©s de la personnalitĂ© de Paul LĂ©autaud â rapports avec sa famille (sa mĂšre notamment), les femmes, la modernitĂ©,âŠ
Pour Valentin, quinze ans, Antoine et Sylvie, ses amis depuis le CP, la vie au collĂšge se dĂ©roule sans heurts.âŠ
Cette nouvelle a dĂ©jĂ paru dans un tirĂ© Ă part du magazine « Elle ». C’est la brĂšve histoire d’unâŠ