La puissance des ombres
GERMAIN SylvieAbonnĂ©Au cours dâune fĂȘte Ă thĂšme dĂ©guisĂ©e, un invitĂ© enveloppĂ© dâune cape bascule depuis le balcon du cinquiĂšme Ă©tage etâŠ
Au cours dâune fĂȘte Ă thĂšme dĂ©guisĂ©e, un invitĂ© enveloppĂ© dâune cape bascule depuis le balcon du cinquiĂšme Ă©tage etâŠ
Premier temps de pandĂ©mie dĂ» au Covid, arrĂȘt sur image ; dans un square, des personnes de toutes gĂ©nĂ©rations flĂąnent,âŠ
Un jour, Nathan tombe par hasard sur un avis de recherche concernant son vieil ami Gavril, un saltimbanque rom qui,âŠ
AbandonnĂ©s dans une forĂȘt, alors que la guerre civile fait rage, un enfant et un porcelet mĂȘlent la chaleur deâŠ
Une petite fille aussi entiĂšre, curieuse, enthousiaste, dĂ©vouĂ©e que Lili, peut-elle vivre sans lâamour dâune mĂšre disparue quand elle avaitâŠ
Dans cet essai littĂ©raire et philosophique, Sylvie Germain (Le monde sans vous, NB juin 2011) part du postulat que nousâŠ
Les immensitĂ©s que traverse Sylvie Germain Ă bord du TranssibĂ©rien lâinvitent Ă Ă©couter ses voix intĂ©rieures. Le mouvement du trainâŠ
En lâespace dâune semaine, AurĂ©lien s’efface par petites touches. Câest dâabord son ordinateur qui sâĂ©teint brusquement, annulant un travail personnelâŠ
Ce portrait d’une famille se dessine entre larmes et rire, un rire parfois bien pire que des larmes. C’est avecâŠ
Hambourg, 1943. AmnĂ©sique, Franz-Georg, cinq ans, doit tout rĂ©apprendre auprĂšs de parents inconditionnels du FĂŒhrer. Puis les temps changent. IlâŠ