Les compagnons de la libération . Grenoble
LE NAOUR Jean-Yves, TARRAL Philippe AbonnĂ©1940. Les chars allemands dĂ©ferlent sur la France. Suite Ă lâarmistice, le pays est coupĂ© en deux. Grenoble se trouveâŠ
1940. Les chars allemands dĂ©ferlent sur la France. Suite Ă lâarmistice, le pays est coupĂ© en deux. Grenoble se trouveâŠ
Six annĂ©es aprĂšs le dĂ©but de la crise Ă©conomique dont les racines remontent Ă fort loin, le paysage du mondeâŠ
Juillet 1998 . Une petite fille arrive Ă Vassieux âen-Vercors pour passer une semaine de vacances chez son grand-pĂšre. Elle tombeâŠ
En 1968, Charles de Gaulle est un prĂ©sident vieillissant qui semble de plus en plus dĂ©connectĂ© du peuple. Dans lâombre,âŠ
AoĂ»t 1920. Naissance dâHubert Germain dans une famille de militaires. 14 juin 1940. Les allemands dĂ©fient dans Paris aprĂšs laâŠ
6 juin 1944. Le commandant Philippe Kieffer dĂ©barque Ă Ouistreham en Normandie Ă la tĂȘte de son commando de choc.âŠ
Mai 1968. Le gĂ©nĂ©ral de Gaulle s’ennuie Ă Colombey-les-deux-Ă©glises. Cela change rapidement quand on lui apprend l’occupation de la SorbonneâŠ
11 novembre 1918, les armes se taisent. Sauf en Europe orientale et balkanique. En 1919, et parfois jusqu’en 1922, laâŠ
19 fĂ©vrier 1919. Ămile Cottin, vingt-trois ans, tire neuf balles sur la voiture conduisant Clemenceau au ministĂšre de la Guerre,âŠ
DĂ©couvrant quâun de ses ancĂȘtres figure sur le monument aux morts de sa famille, ClĂ©mence veut en faire le sujetâŠ
Alger, 3 juin 1944. Charles de Gaulle a rĂ©uni le ComitĂ© Français de LibĂ©ration Nationale. Le dĂ©barquement est imminent etâŠ
Tandis que lâĂtat Major français sâattend Ă une attaque massive sur la Somme, rĂ©duisant les effectifs de dĂ©fense autour deâŠ
Fin octobre 1939. Le colonel de Gaulle, lâauteur de De lâarmĂ©e de mĂ©tier, nâa de cesse de sâopposer Ă saâŠ
DĂ©cembre 1915. Le lieutenant colonel Driant (dĂ©putĂ© de Nancy) se prĂ©cipite Ă la Chambre pour attirer lâattention de ses collĂšgues.âŠ
Verdun, 1er Mars 1916. Un capitaine vient se prĂ©senter au gĂ©nĂ©ral PĂ©tain avant de monter au front. Ils se sontâŠ