LâĂ©cole buissonniĂšre
ORDAS Patrice, MOUNIER Alain AbonnĂ©En dĂ©cembre 1943 Jacques, François et Jean nâont que le baccalaurĂ©at en tĂȘte. Dans une France occupĂ©e, ils essaient deâŠ
En dĂ©cembre 1943 Jacques, François et Jean nâont que le baccalaurĂ©at en tĂȘte. Dans une France occupĂ©e, ils essaient deâŠ
Septembre 1918. ClĂ©menceau, espĂ©rant pouvoir proposer lâArmistice en position de force, ordonne une derniĂšre offensive pour traverser la Meuse. LeâŠ
Ă lâautomne 1918, la fin de la guerre semble Ă portĂ©e de canon. Les forces françaises mĂšnent les derniers assautsâŠ
Depuis le dĂ©part de Moscou dans le plus grand dĂ©sordre, NapolĂ©on est retranchĂ© avec un groupe de fidĂšles dans uneâŠ
Le lieutenant Bouteloup est passĂ© de lâautre cĂŽtĂ©. Câest Ă son tour de se trouver dans les mains de sesâŠ
Toujours dĂ©cidĂ© Ă recouvrer son honneur, Louis « Moses » Rose poursuit sa route vers Alamo avec le shĂ©rif Millapps,âŠ
Dans le temple du vieux singe, grĂące Ă lâintervention de Plasden, Arno Ixks Ă©chappe de peu Ă une bande deâŠ
Le Lusitania, magnifique bĂątiment civil du dĂ©but du XXe siĂšcle, repose dorĂ©navant au fond de la mer avec ses 1600âŠ
Louise travaille Place VendĂŽme, chez un orfĂšvre, monsieur Morchard, qui lâa recueillie Ă la mort de sa mĂšre, victime, quelquesâŠ
Au XVIeme siĂšcle, un doge dirige Venise. Mais soumis Ă la pression de lâĂ©missaire du pape, contraint Ă des empruntsâŠ
1936. Hitler recherche le soutien des Ătats-Unis et a pour cela fĂ©dĂ©rĂ© un groupe de spirites aux grands pouvoirs psychiques.âŠ
Ce matin, NapolĂ©on se rĂ©veille et dĂ©couvre avec horreur Moscou en flammes. Il faut fuir, sauver ce qui peut lâĂȘtre,âŠ
Louis Moses Rose, unique rescapĂ© du massacre de Fort Alamo, veut prouver quâil nâest pas un dĂ©serteur. Seul le tĂ©moignageâŠ
DĂ©but 1918. Les premiers AmĂ©ricains arrivent sur le front. Le mĂ©decin Louis-Charles Bouteloup quitte le Val-de-Grace, oĂč sa mise enâŠ
MalgrĂ© les menaces des sous-marins, le Lusitania poursuit directement sa route Ă petite vitesse vers Liverpool. Deux saboteurs parviennent Ă âŠ