Tous passaient sans effroi
ROLIN JeanAbonnĂ©Dans ce recueil dâimpressions, dont le titre sâinspire dâun vers de Vigny concernant Roncevaux, aux antipodes de la zone pyrĂ©nĂ©enneâŠ
Dans ce recueil dâimpressions, dont le titre sâinspire dâun vers de Vigny concernant Roncevaux, aux antipodes de la zone pyrĂ©nĂ©enneâŠ
Une dĂ©ambulation pĂ©destre insolite mĂšne Jean Rolin – qui a suivi les traces de Lawrence dâArabie dans un livre prĂ©cĂ©dentâŠ
Ayant appris que T.E. Lawrence se baignait enfant sur la mĂȘme plage que lui Ă Dinard, Jean Rolin part surâŠ
En 2007, ils sont allĂ©s en Georgie sur les pas de Flannery OâConnor dont Kate, photographe et compagne de lâĂ©crivain,âŠ
Pied au plancher, Ă©vitant les dĂ©bris, il descend le boulevard SĂ©bastopol, traverse quelques barrages filtrants, reprend sa route vers ChĂąteauneuf-sur-LoireâŠ
ExilĂ© par sa hiĂ©rarchie au fin fond du Tadjikistan, un agent spĂ©cial français raconte, Ă son collĂšgue kirghize sous leâŠ
Depuis des millĂ©naires, il existe des chiens errants, tant dans les pays riches que les pays pauvres, dans les campagnesâŠ
Sur une route du Congo, le moteur dâune vieille voiture chauffe tant que la durite explose. LâitinĂ©raire de ce vĂ©hiculeâŠ
AprĂšs les dĂ©ambulations dans le monde marginal de La ClĂŽture (NB mars 2002), Jean Rolin reprend les explorations dont ilâŠ