Un long adieu
CARROLL StevenEn 1960, dans une modeste banlieue de Melbourne, Michael, seize ans, passionnĂ© de cricket, sâentraĂźne Ă lancer la balle malgrĂ©âŠ
En 1960, dans une modeste banlieue de Melbourne, Michael, seize ans, passionnĂ© de cricket, sâentraĂźne Ă lancer la balle malgrĂ©âŠ
&  « En Chine, on dit qu’un homme n’en devient vraiment un qu’aprĂšs avoir perdu son pĂšre. » C’est ainsi queâŠ
& &  Ce roman qui a la forme dâune lettre de rupture dâun fils Ă sa mĂšre mal aimante,âŠ
&  Juillet 1865. PrĂšs de Bruxelles, un homme de la bonne sociĂ©tĂ© disparaĂźt aprĂšs que les personnes prĂ©sentes dansâŠ
Maxence de Ridder, ayant fait fortune dans la vente dâarmes, est retrouvĂ© mort dans le triplex de luxe quâil sâĂ©taitâŠ
PoĂšte et mĂ©lomane, globe-trotter, inlassable promeneur aux sens toujours Ă lâaffĂ»t, Gil Jouanard (MĂ©moire de l’instant : nouvelles ordinaires de diversâŠ
âMatin vertâ, âLa musiqueâ, âLes pommesâ, âLa siesteâ, âJambes nuesâ, ces mots qui pourraient construire une phrase toute de sensations,âŠ
Au seuil de la vieillesse, un homme entreprend la tenue dâun journal et crĂ©e matiĂšre Ă Ă©criture en dĂ©cidant dâunâŠ
Avec une grande richesse de vocabulaire, lâauteure Ă©voque la rencontre amoureuse de deux femmes : Nina la âdominanteâ exige laâŠ
« Un amour fou, une souffrance d’artiste » Brooklyn, 1965. Un marchand d’art ayant rĂ©ussi est venu rendre visite auâŠ
L’absurde tient une place importante dans ce recueil qui emprunte son titre Ă la premiĂšre nouvelle. L’angoisse de la premiĂšreâŠ
CĂ©cile, une infirmiĂšre pleine de compassion, s’est attachĂ©e au vieux monsieur qui est son patient, Florentin Durant. Au mĂ©pris duâŠ
En Bretagne, Louise, quatre-vingt-douze ans, meurt chez elle, veillĂ©e par CĂ©cile, sa fille, femme solide et avenante, aujourd’hui divorcĂ©e. DesâŠ
En 2012, la France est gouvernĂ©e par les « Obscurants » qui prĂŽnent un catholicisme rĂ©trograde et traquent sĂ©vĂšrement toutesâŠ
Une bonne soixantaine de minuscules chapitres racontant chacun une histoire, l’ensemble habilement agencĂ© pour former un tout, la construction estâŠ