Qui sĂšme le vent
GRIMBERT Philippe B.Alexandre Wisnievsky, Ă©crivain en panne dâinspiration, a dĂ©cidĂ© de se rĂ©fugier dans sa rĂ©sidence secondaire du Morvan. Sa compagne Fanny,âŠ
Alexandre Wisnievsky, Ă©crivain en panne dâinspiration, a dĂ©cidĂ© de se rĂ©fugier dans sa rĂ©sidence secondaire du Morvan. Sa compagne Fanny,âŠ
Durant son road trip dans l’Ouest des Ătats-Unis, un voyageur sâarrĂȘte Ă Cortez, dans le Colorado. PrĂȘt Ă sâinstaller dansâŠ
Ă 17 ans, Juliette, adolescente brillante, vient dâavoir son baccalaurĂ©at et se rĂ©jouit dâintĂ©grer une classe prĂ©paratoire loin de laâŠ
Bastien Scorff, antiquaire, se rend prĂšs de Brest chez deux frĂšres jumeaux voir un tableau qui aurait Ă©tĂ© peint parâŠ
Thomas Haberline, chirurgien orthopĂ©dique rĂ©putĂ© dans la patientĂšle du Whoâs Who artistique new-yorkais, cesse peu Ă peu de sâintĂ©resser Ă âŠ
Unique hĂ©ritier de la plus grande fortune industrielle française, Bertrand Le Marec se dĂ©sintĂ©resse totalement de lâargent, du pouvoir etâŠ
Un brave type, Germain : Ă©crivain Ă succĂšs, il Ă©crit, consciencieux, efficace. DĂ©jeunant d’une sucrine et de miettes de thon,âŠ
Paul et Sylvie, un couple de bobos parisiens, ont une fille unique, BĂ©rĂ©nice. Cette enfant est lâobjet dâune sollicitude dĂ©mesurĂ©eâŠ
Didier assiste incognito au baptĂȘme de sa petite-fille prĂ©nommĂ©e Françoise comme sa mĂšre quâil exĂšcre. Occasion de se remĂ©morer sesâŠ
Ils sâappellent Manon, Fiodor, EugĂšne, Marguerite⊠Bien malin celui qui, sans hĂ©sitation, peut leur accoler un nom. Ce recueil nâaâŠ
FĂ©lix, bientĂŽt la trentaine, nâest pas prĂȘt Ă sacrifier son indĂ©pendance et sa tranquillitĂ© Ă un enfant. Il vient deâŠ
Depuis la mort de sa femme, Paul se terre avec chiens et chats dans sa maison, nâouvre Ă personne, neâŠ
Le pseudonyme de lâauteur permet de situer oĂč se passe la petite vie du hĂ©ros dans les annĂ©es yĂ©-yĂ©. CeâŠ
Vincent, musicien, apprend brusquement que sa femme Karen, artiste connue du Street Art, vient de se tuer en voiture. ĂtonnĂ©âŠ
La philosophie est une errance, on ne sait pas oĂč elle nous mĂšne. Pour dĂ©velopper ce postulat, Alain Guyard (LaâŠ