Ă bout portant : Versailles 1972
ARTIĂRES PhilippeAbonnĂ©Issu dâune famille de moyenne bourgeoisie catholique, lâauteur revit son enfance passĂ©e Ă Versailles dans la RĂ©sidence, sorte de « ghetto »âŠ
Issu dâune famille de moyenne bourgeoisie catholique, lâauteur revit son enfance passĂ©e Ă Versailles dans la RĂ©sidence, sorte de « ghetto »âŠ
Novembre au Havre. Le corps dâun homme est retrouvĂ© sur la voie publique. Dans sa poche, un numĂ©ro de tĂ©lĂ©phone.âŠ
Minkyung rĂ©vĂšle un jour que le frĂšre de son pĂšre a Ă©tĂ© retrouvĂ© congelĂ© dans un local poubelles de lâhĂŽpitalâŠ
Elle nâa aucun souvenir de ses parents, ignore tout de sa famille nâayant connu que foyers et familles dâaccueil. ElleâŠ
Paul est professeur Ă lâuniversitĂ©. Il Ă©crit un article sur « la littĂ©rature comme espace de torsion des assignations de genre »âŠ
AprĂšs de longues annĂ©es en Chine, Alexandre Labruffe est brusquement rattrapĂ© par une rĂ©alitĂ© envahissante – un frĂšre, incarcĂ©rĂ© pourâŠ
RenversĂ©e dans un fauteuil de dentiste, elle regarde le faux-plafond et se souvient… Une femme retrouve une amie dont laâŠ
Les vacances Ă Royan ou la vie ordinaire dâun couple et de leurs deux enfants⊠Elle, conseillĂšre en communication, estâŠ
Marta, dont le fils aĂźnĂ© a dĂ©jĂ quittĂ© le Salvador, est anĂ©antie quand le second Ă©migre Ă son tour avecâŠ
L’auteur-narrateur a acceptĂ© un poste d’attachĂ© culturel Ă Wuhan, oĂč il arrive Ă l’automne 2019. Amoureux du chinois et desâŠ
25 aoĂ»t 2015. En Arctique, dans les montagnes du Kamtchatka, une jeune anthropologue française se retrouve seule face Ă unâŠ
Beauvoire est pompiste dans une station-service situĂ© Ă Pantin, en bordure du pĂ©riphĂ©rique parisien. Pour s’occuper pendant ses journĂ©es, outreâŠ
Dans le monde de demain, voire celui dâaujourdâhui, une ville dĂ©shumanisĂ©e oĂč autoroutes et immeubles supplantent espaces verts et cheminsâŠ
HĂ©lĂšne et LoĂŻc participaient ce soir-lĂ Ă une soirĂ©e mondaine Ă Paris. Une photo de la jeune femme a Ă©tĂ©âŠ
Qui veut gagner des millions ? Beaucoup en rĂȘvent, mais la roue de la fortune ne sâarrĂȘte que sur peuâŠ