C’est quand tu veux, Cupidon ! (Elza)
LĂVY Didier, MEURISSE CatherineElza est prĂȘte et elle le dit : « câest quand tu veux, Cupidon ». Mais du plus haut des cieux, le sortâŠ
Elza est prĂȘte et elle le dit : « câest quand tu veux, Cupidon ». Mais du plus haut des cieux, le sortâŠ
Dans les annĂ©es 60, ThĂ©rĂšse habite un appartement parisien, grand comme un mouchoir de poche, situĂ© Ă proximitĂ© de laâŠ
Julie a vu « Quand la mer monte » de Yolande Moreau dans un cinĂ©ma des Halles. Prise de l’irrĂ©sistible envie deâŠ
CentrĂ© sur les amours ou plutĂŽt les rĂȘves d’amour de l’hĂ©roĂŻne, ce troisiĂšme cahier du journal d’Elza joue dans leâŠ
& & &  « ArrĂȘte de tâhabiller systĂ©matiquement en pĂȘcheur breton », lui conseille un ami. Elza en effet,âŠ
 & &  Jean-Jean, le conducteur du train, rĂȘve d’organiser un grand goĂ»ter en l’honneur de la LibertĂ© : «âŠ
& &   L’auteur anime, entre autres, le CafĂ©zoĂŻde Ă Paris, lieu d’Ă©change rĂ©servĂ© aux parents et aux enfants.âŠ