Nous nous verrons en août
GARCĂA MĂRQUEZ GabrielAbonnĂ©Chaque 16 aoĂ»t, Ana Magdalena Bach quitte sa terre caribĂ©enne, son conformisme conjugal heureux, rejoint en ferry une lointaine ĂźleâŠ
Chaque 16 aoĂ»t, Ana Magdalena Bach quitte sa terre caribĂ©enne, son conformisme conjugal heureux, rejoint en ferry une lointaine ĂźleâŠ
Lâenfant est noir, elle est blanche. Elle lâa adoptĂ©. Une voisine lui a donnĂ© le bĂ©bĂ© Ă la naissance carâŠ
Une jeune institutrice urbaine nommĂ©e dans un village dâIndiens dâAmazonie. Elle est ravie Ă l’idĂ©e d’apporter les trĂ©sors de lâenseignementâŠ
Il vient de recevoir un prix mexicain pour un traitĂ© de philologie Ă©crit lâannĂ©e prĂ©cĂ©dente. GrĂące Ă ce montant financierâŠ
Un homme seul dans une ville sans nom dont les seuls repĂšres sont des initiales de rues ou autres lieuxâŠ
Karen, mĂ©tisse Ă la beautĂ© renversante, arrive de CarthagĂšne Ă Bogota. EngagĂ©e comme esthĂ©ticienne dans un salon huppĂ©, elle captureâŠ
Dans les beaux quartiers de Bogota. Juliana, dix ans, veut un bateau, pas une poupĂ©e. Et pourquoi pas un petitâŠ
PrĂšs de Bogota, le corps dâun homme empalĂ©, crucifiĂ©, est trouvĂ© au bord dâun lac. Cette mise en scĂšne macabreâŠ
Dans les annĂ©es soixante-dix, aprĂšs un retrait forcĂ© pour raisons de santĂ©, un Ă©crivain colombien essaye de retrouver l’inspiration. IlâŠ
Universitaire colombienne, Piedad Bonnett est lâauteur de nombreux ouvrages, de poĂ©sie notamment. Daniel, son fils chĂ©ri de vingt-huit ans, sâestâŠ
Ă Bogota, Carlos Carballo se passionne pour les assassinats non totalement Ă©lucidĂ©s de leaders politiques colombiens dans un pays enâŠ
Medellin, 1971. Don Diego, riche hĂ©ritier dâune filature, est enlevĂ© et sĂ©questrĂ©. Les ravisseurs nĂ©gocient la rançon avec la famille,âŠ
Trois frĂšre et soeurs se retrouvent pour l’enterrement de leur mĂšre Ă La secrĂšte, ferme situĂ©e dans les montagnes enâŠ
Bien quâil dĂ©teste les farces, le docteur Justo Pastor Proceso en a prĂ©parĂ© une pour le 28 dĂ©cembre 1966 etâŠ
Mallarino est caricaturiste Ă BogotĂĄ. Depuis quarante ans, il fournit quotidiennement Ă son journal un dessin stigmatisant les traits marquantsâŠ